5 raisons de suivre la masterclasse «Théâtres en Afrique francophone subsaharienne»

La masterclasse «Théâtre en Afrique subsaharienne francophone : penser et vivre autrement» est une occasion d’en savoir plus sur cette discipline artistique, avec un accent particulier sur le cas de l’Afrique subsaharienne francophone. 

Voici 5 raisons fondamentales pour lesquelles, suivre cette formation, proposé par l’Académie Charles-Dullin, est important. 

Raison n°1 : Aborder l’histoire des théâtres en Afrique subsaharienne francophone 
Quelle est l’histoire du théâtre en Afrique ? Quelle est sa place dans le contexte actuel et comment se battent les acteurs culturels pour permettre au théâtre de vivre ? Suivre cette masterclasse est important car son objectif est d’apporter des éléments de réponses à ces préoccupations, au plus près de la réalité des artistes sur place. Elle vise à donner une définition actuelle, la plus fidèle possible de ce qu’est le théâtre africain aujourd’hui dans toute sa diversité.

Raison n°2 : Se rappeler que le théâtre est un outil essentiel d’action sociale  
« Pour faire du théâtre en Afrique, il faut boxer la situation ». Cette phrase du dramaturge congolais Dieudonné Niangouna issue de sa pièce « M’appelle Mohamed Ali » éditée chez Les solitaires intempestifs en 2014, traduit à la perfection ce que le théâtre est pour beaucoup, c’est-à-dire une arme de combat, un uppercut contre chaque situation insupportable. Ce cours met ainsi l’accent sur la fonction que le théâtre a occupé et continue d’occuper en Afrique. 

Raison n°3 : Comprendre la place de la liberté d’expression dans le théâtre en Afrique subsaharienne francophone
Dans une société africaine où, la plupart du temps, la liberté d’expression n’est pas acquise, le théâtre est un bouclier. Mieux, il est un moyen de lutte contre l’injustice. La masterclasse met l’accent sur cet aspect, en montrant des exemples concrets de travaux et projets artistiques qui, grâce au pouvoir du théâtre, ont pu contourner les obstacles à la liberté d’expression et renforcer la démocratie.

Raison n°4 : Mesurer l’impact du théâtre en tant que facteur indispensable de cohésion sociale dans la société africaine
Le théâtre est un lieu de débat, de discussion. Il fait rire, fait pleurer, il est le reflet de la société, le miroir dans lequel chacun s’observe. Par les émotions, les réactions positives ou négatives qu’il génère, il permet le divertissement, la dénonciation, la réflexion et ainsi le rassemblement et la cohésion sociale. 

Raison n°5 : Accompagner la création et la mise en réseau des acteurs culturels.
L’un des problèmes majeurs auxquels fait face le théâtre africain est l’aide à la création. Beaucoup d’idées dorment dans les placards. Bon nombre de pièces écrites peinent à être montées. Quelles sont les réalités autour de l’aide à la création et à la diffusion des pièces africaines ? Comment renforcer le rayonnement de ces pièces et limiter les freins à la création ? Cette masterclasse permet de dresser un état des lieux et des pistes d’action. Contribuez à cette dynamique en vous inscrivant et en participant au forum ! 

Pour en savoir plus et s’inscrire : cliquez ici
Académie Charles-Dullin 
Début du cours : 22 février 2022
Fin d’inscription : 22 février 2023