Il consacre ses recherches doctorales à l’étude du jeu vidéo en amateur. Il cherche à produire une théorie pour le goût pour le jeu vidéo (goût en tant que processus actif, venant de la sociologie pragmatique) à partir de données empiriques, principalement des entretiens compréhensifs avec des créateurs de jeux vidéo amateurs. En effectuant des allers-retours entre jeu et création, cela lui permet de comprendre comment les informateurs développent des prises sur leur propre goût, que cela soit manette en main ou face à une interface de logiciel. Par ailleurs, il a travaillé en tant que médiateur culturel pour différentes associations, dont Arts&Publics. Le dispositif qu'il a développé consistait en des ateliers de création de jeux vidéo pour des néophytes, en partenariat avec des centres de jeunes ou des musées. L'objectif final étant de favoriser une expression citoyenne vidéoludique.